Vivez l'actualité
de la bioéthique

Inscription à la newsletter hebdomadaire
du Forum Européen de Bioéthique

Merci! Votre demande a été reçue!

Oups! Quelque chose s'est mal passé lors de la soumission du formulaire

Isabelle CORPART

Maître de conférences en droit privé à l’université de Haute-Alsace, membre du Centre européen de recherche sur le droit des accidents collectifs et des catastrophes.
symbole

Biographie

Maître de conférences en droit privé à l’université de Haute-Alsace (Mulhouse), membre du Centre européen de recherche sur le droit des accidents collectifs et des catastrophes (CERDACC).

Isabelle Corpart est spécialisée dans le droit des personnes, de la famille, de la santé et du risque, elle tient la rubrique Etat des personnes à la Revue juridique Personnes et famille et fait partie des comités de rédaction des revues Recherches familiales (UNAF) et Le furet. Elle collabore aussi au Journal des accidents et des catastrophes (JAC). Elle est l’auteur de Familles recomposées (Lamy Axe droit, 2011) ; Les régimes matrimoniaux (Vuibert, 2011) ; Droits de l’enfant (ASH, supplément mars 2006) ; Filiations : nouveaux enjeux, Problèmes politiques et sociaux (juillet 2005, n° 914).

Elle a également signé de nombreux commentaires et chroniques en droit de la famille, notamment Les enfants du mort au regard du droit de la filiation (in B. Py) ; La mort et le droit (Presses universitaires de Nancy 2010) ; Le fœtus mort, enfant de personne (in De code en code : Mélanges en l’honneur de Georges Wiederkehr) Dalloz, 2009 ; Décès périnatal et qualification juridique du cadavre (JCP 2009) ; La notion d’enfant sans vie à la lumière de la jurisprudence de la Cour de cassation (Médecine & Droit n° 91, juillet-août 2008).

symbole

Bibliographie

symbole

Interventions

This is some text inside of a div block.
min
favoris
icone menu
play

PROCRÉATION : LA FAMILLE EN CHANTIER

Embryon, fœtus Les sujets de la discorde

Dans les centres français d’assistance médicale à la procréation, plus de 150 000 embryons congelés attendent qu’on décide de leur sort. En cause : leur statut. Non qu’il soit absent, le statut juridique de l’embryon, comme celui du fœtus est encore sommaire. Sachant que depuis le droit Romain, le champ juridique est régulé par une pensée binaire, le sujet et l’objet, où se place l’embryon ? S’il est un objet, peut-on en disposer à sa guise ? S’il est sujet, aurait-il tous les droits de la personne ? N’est-il pas envisageable de penser une troisième catégorie juridique ? Qu’en est-il du statut philosophique de l’embryon et du fœtus? Qu’en pensent nos voisins européens ?
00
JOURS
00
HEURES
00
MIN
00
SEC