Vivez l'actualité
de la bioéthique

Inscription à la newsletter hebdomadaire
du Forum Européen de Bioéthique

Merci! Votre demande a été reçue!

Oups! Quelque chose s'est mal passé lors de la soumission du formulaire

Colombe SCHNECK

Écrivaine, journaliste, réalisatrice
symbole

Biographie

Colombe Schneck est une écrivain, journaliste et réalisatrice de documentaires, née le 9 juin 1966 à Paris. Réalisatrice de quatre films, Nucléaire, un si long silence (Riff production/La cinquième) diffusion mars 1999), Quand je suis tombé dans la télé (Riff production/La cinquième) diffusion juin 1999), Femmes sans enfant, femmes suspectes (Une coproduction Elzevir films/Arte (diffusion le 28 novembre 2014).

Les vieux amoureux (Une coproduction Elzevir films/Arte) (diffusion le 3 septembre 2016).Elle prépare aujourd'hui son premier long métrage de fiction avec le producteur François d'Artemare (Les films de l'après-midi).

symbole

Bibliographie

  • L’increvable Monsieur Schneck (Stock 2006) Prix Murat 2007,
  • Sa petite chérie (Stock 2007), Val de Grâce (Stock 2008) Grand Prix de l’héroïne Madame Figaro 2008,
  • Une femme célèbre (Stock 2010) Prix Anna de Noailles de l’Académie française,
  • Une réparation (Grasset 2012) Prix Thyde Monnier de la SGDL,
  • Mon petit Calder (Helium/Palette 2013),
  • Mai 67 (Robert Laffont 2014) Prix de la Messardière/roman de l’été,
  • Dix sept (Grasset, 2015)
  • Sœurs de miséricorde (Stock, 2015).
  • Son dernier roman Les guerres de mon père vient de sortir chez Stock.


symbole

Interventions

This is some text inside of a div block.
min
favoris
icone menu
play

PRODUIRE OU SE REPRODUIRE ?

Les romanciers face à la filiation

Que faire du trop-plein d’amour, du silence des pères, de l’absence de regard porté par nos parents sur nous. Comment se construire ? La littérature nous donne des clefs pour comprendre et reconstituer le puzzle de notre enfance. Enfant, Colombe Schneck sentait que l’amour de son père était immortel. Sa mort à la sortie de l’adolescence l’a laissée dans un état de grande solitude. C’est en écrivant et en enquêtant qu’elle s’est avoué pour la première fois, qu’elle n’était pas coupable de ses errances et qu’elle pouvait accepter d’être aimée. Si Metin Arditi porte son père sur ses épaules, c’est pour tenter de retrouver, vingt ans après sa mort, cet homme qui mit son fils en pension dès ses 7 ans. Un père auquel il pensait avoir pardonné. Pourtant, la colère est toujours là. C’est à un voyage au pays paternel que nous convie l’auteur, passant par les étapes amour, rage, tendresse, pour déboucher, enfin, sur le pardon. Alexandre Jardin, quant à lui, rend hommage à sa mère, cette femme qui a tout osé, aventurière, héroïne et ultra-moderne et qui l’a « vacciné contre la peur de vivre ».
00
JOURS
00
HEURES
00
MIN
00
SEC