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Eric FIAT

Pr. d'éthique médicale à l'Université Gustave Eiffel/Marne-la-Vallée
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Biographie

Eric Fiat est philosophe, Professeur d'éthique médicale à l'Université Paris-Est.Né à Château-Thierry, après une hésitation entre la musique, la littérature et la philosophie, il choisit cette dernière.

Après l'Agrégation et quelques années d'enseignement en terminale, il devient Docteur puis Professeur à l'Université Paris-Est, où il est responsable du Master d'éthique médicale et hospitalière (ouvert à des étudiants en Formation Continue, monté en partenariat avec l'AP-HP). Il est par ailleurs Directeur adjoint du Laboratoire de recherche LIPHA-PE.

Ses travaux portent sur la fragilité humaine au sens large, plus précisément sur les dimensions corporelles et phénoménologiques de cette fragilité. Il est par ailleurs violoncelliste dans l'Ensemble instrumental de Château-Thierry.

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Bibliographie

  • 2018 : Ode à la fatigue, Ed. de l’observatoire
  • 2018 : Le devenir de l’intériorité à l’ère des nouvelles technologies, coll. dirigé Par E. Fiat, Ed. Le bord de l’eau, coll. « Diagnostics »
  • 2017 : La pudeur à l’épreuve du soin, Monaco, Ed. Les rencontres philosophiques de Monaco
  • 2016 : La pudeur, avec Adèle Van Reeth, Ed. Plon
  • 2015 : Corps et âme, Ou qu’un peu d’incarnation, ça peut pas faire de mal, Ed. Cécile Defaut
  • 2013 : La couleur du matin profond, Entretiens avec Pierre Magnard, Ed. Les petits platons
  • 2013 : Handicap, Handicaps, coll. dirigé par Eric Fiat, Ed. Parole et silence, Lethielleux
  • 2012 : Petit traité de dignité, Larousse poche
  • 2010 : Grandeurs et misères des hommes, petit traité de dignité, Larousse
  • 2008 : Questions d’amour, De l’amour dans la relation soignante, coll. dirigé par Eric Fiat, Ed. Parole et silence, Lethielleux.

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Interventions

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QUEL HUMAIN POUR DEMAIN?

La médecine : à consommer sans modération ?

Quel que soit le supermarché que l’on fréquente, nous sommes en droit d’exiger une qualité de pommes, de pâtes ou de lessives équivalente. En va-t-il de même en matière de médecine ? Peut-on exiger telle qualité de soins ou telle efficacité ? C’est en tout cas la tendance vers laquelle nous semblons nous aventurer. Notation des médecins, remboursement ou déremboursement de certains actes ou pratiques, évolution globale du système de santé… Si chacun semble en droit d’exiger des soins pour être en bonne santé, la médecine, pour autant, ne remplit pas tous les critères d’un bien de consommation courante.
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EN TEMPS DE CRISES

Recherches scientifiques en période de crise

En situation de crise, l’urgence semble prendre le pas sur tout le reste : la liberté d’aller et venir, celle de porter un masque, de faire la fête… Mais ce principe reste-t-il valable en matière d’éthique de la recherche ? Peut-on, sous prétexte qu’il existe un péril imminent, s’affranchir de la lenteur inhérente et prudente propre à la recherche en matière de santé humaine, pour obtenir plus rapidement un vaccin, un traitement ou toute autre solution au problème qui se dresse entre l’être humain et sa survie ? Comment mettre en balance les risques et les bénéfices d’une recherche accélérée ? Qui s’assure du bien fondé des études, de la validité des résultats et du caractère éthique de la recherche en France ? Par ailleurs, en ces temps mondialisés, ce qui est valable en France, l’est-il dans les autres pays de l’Union Européenne et du monde ?
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EN TEMPS DE CRISES

Cesser d’exister pour rester en vie.

« La santé avant tout ! » A l’acmé du confinement et de la pandémie, ce leitmotiv s’est répandu avec une grande viralité, comme si la santé était la valeur suprême à protéger. Après tout, il est vrai qu’en son absence, difficile d’envisager quoi que ce soit d’autre. Si la santé est essentielle, l’être humain n’a-t-il pas d’autres besoins vitaux que celui de se soigner, manger, boire, respirer, se vêtir et avoir un toît au dessus de sa tête ? Dans cette optique, il peut être intéressant d’opposer la survie à l’existence. Par ailleurs, la pandémie liée à la COVID-19 a mis en exergue un élément récurrent en matière de politique de santé, la primauté donnée au prolongement de la vie. Mais est-ce vraiment là un objectif raisonnable ?
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BIOÉTHIQUE ET ENVIRONNEMENT(S)

Quelle est la place de l’art et de la culture en période de crise écologique ?

On imagine parfois que l’art et la culture sont le propre de l’être humain, la quintessence de ce qu’il peut produire en s’affranchissant de sa nature sauvage. Mais dans une société où l’urgence est à la sauvegarde de l’environnement, que reste-t-il comme place pour l’art et la culture ? Sont-ils des biens aussi précieux que l’air que l'on respire et l’eau que l'on boit ? Comment interpréter la multiplication récente des actions militantes violentes à l’encontre des œuvres d’art ?
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