Grâce à un cocktail médicamenteux, la sédation profonde plonge le patient dans un état d’inconscience, jusqu’à la mort. Peut-elle l’accélérer ? Quelle est la frontière entre la sédation et l’euthanasie passive ? Ne risque-t-elle pas de développer une culture de la technicisation de la mort ?
25-Jan
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L'Aubette
Les intervenants
Maître Jacqueline HERREMANS
Présidente de l’association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD) en Belgique.