Vivez l'actualité
de la bioéthique

Inscription à la newsletter hebdomadaire
du Forum Européen de Bioéthique

Merci! Votre demande a été reçue!

Oups! Quelque chose s'est mal passé lors de la soumission du formulaire

David LE BRETON

Professeur de sociologie à l’université de Strasbourg. Membre senior de l’Institut Universitaire de France et membre de l’Institut des Etudes Avancées de l’Université de Strasbourg (USIAS).
symbole

Biographie

Les recherches de David Le Breton portent essentiellement autour de deux axes.
La sociologie et l’anthropologie du corps et la sociologie et l’anthropologie des conduites à risque. Il a été l’un des pionniers de l’introduction de ces deux thématiques dans la recherche francophone et en partie étrangère (du fait de la traduction de ses ouvrages).

Il a travaillé sur le visage (Des visages. Essai d’anthropologie), la douleur (Anthropologie de la douleur ; Expériences de la douleur. Entre destruction et renaissance ; Tenir. Douleur chronique et réinvention de soi) la construction culturelle et sociale des émotions (Anthropologie des émotions), la construction sociale et culturelle des perceptions sensorielles (La saveur du monde. Une anthropologie des sens), l’anthropologie du rire (Rire. Une anthropologie du rieur).
Il a écrit également sur l’invention du corps dans la médecine occidentale (Anthropologie du corps et modernité).

En février 2007, il été nommé membre senior de l’Institut Universitaire de France et nommé en 2012 titulaire de la chaire « Anthropologie des mondes contemporains » à l’Institut des Études Avancées de l’Université de Strasbourg (USIAS) depuis 2012.

symbole

Bibliographie

Brève bibliographie

- Anthropologie du corps et modernité, PUF, 2017.

- Du silence, Métailié, 1997 (2013).

- La peau et la trace. Sur les blessures d’identité, Paris, Métailié, 2003 (2015)

- La saveur du monde. Une anthropologie des sens, Métailié, 2006

– En souffrance. Adolescence et entrée dans la vie, Métailié, 2007 (2015).

- Expériences de la douleur. Entre destruction et renaissance, Métailié, 2010

- Eclats de voix. Une anthropologie des voix, Métailié, 2011.

- Marcher. Éloge des chemins et de la lenteur, Métailié, 2012

- Disparaitre de soi. Une tentation contemporaine, Métailié, 2015

- Tenir. Douleur chronique et réinvention de soi, Métailié, 2017

- Rire. Une anthropologie du rieur, Métailié, 2018

– Marcher la vie. Un art tranquille du bonheur, Métailié, 2020

- En roue libre. Anthropologie sentimentale du vélo, Terre Urbaine, 2020

- Anthropologie des émotions. Être affectivement au monde, Petite Bibliothèque Payot, 2021.

symbole

Interventions

This is some text inside of a div block.
min
favoris
icone menu
play

VIEILLISSEMENT ET FIN DE VIE

Vouloir tout maîtriser, jusqu’à la mort…

Notre société de la maîtrise a du mal à accepter que la mort, elle, puisse survenir à un moment et dans des conditions sur lesquelles chacun reste impuissant. Serait-ce pour cela que la mort demeure un grand tabou de notre société ? Un point de vue philosophique et anthropologique est donc nécessaire et cette rencontre donnera donc l’occasion de comprendre les dessous profonds de notre société occidentale sur cette question.
This is some text inside of a div block.
min
favoris
icone menu
play

LE CORPS HUMAIN EN PIÈCES DÉTACHÉES

Mon corps, mon image : jeux d’identités

Autour du corps comme matière première à modeler selon « l’ambiance du moment », les usages et comme support d’expression, y compris dans l’art.
This is some text inside of a div block.
min
favoris
icone menu
play

CONNAÎTRE LE CERVEAU MAÎTRISER LES COMPORTEMENTS

Qu’est-ce que la douleur ?

Elle est sans doute le plus fréquent des symptômes et pose encore des difficultés de compréhension. Que sait-on de la douleur ? Vient-elle du corps ou de l’âme ? Est-elle une sensation, une émotion ou encore, une altération somatique ? A-t-elle une source unique ou une origine multifactorielle ? Qu’est-ce que les expériences de la douleur ?
This is some text inside of a div block.
min
favoris
icone menu
play

CONNAÎTRE LE CERVEAU MAÎTRISER LES COMPORTEMENTS

Autour de la douleur

This is some text inside of a div block.
min
favoris
icone menu
play

L'ARGENT ET LA SANTÉ

L’addition des addictions : qui paye ?

Cannabis distribué par l’Etat et dument taxé ou chasse policière chère et inefficace ? Le débat est actuel et cache une vraie complexité. Entre ceux qui ne veulent pas abandonner l’interdit fut-il symbolique et ceux qui affichent un pragmatisme très prosaïque : ce serait 2 milliards de gagnés chaque année…
This is some text inside of a div block.
min
favoris
icone menu
play

L'ARGENT ET LA SANTÉ

Du scandale naquit la précaution

« Responsable, mais pas coupable ! » La judiciarisation des rapports entre corps médical et patient grandit, le principe de précaution régulièrement invoqué dans les dossiers. Certes, la précaution est nécessaire. Mais il aurait fallu graver dans le marbre de la Constitution, au regard du principe de précaution, le principe d’innovation. Car in fine, ne pas faire, revient à faire et à prendre des risques, quand même …
This is some text inside of a div block.
min
favoris
icone menu
play

L'ARGENT ET LA SANTÉ

L’humain, le cobaye le moins cher…

L’expérimentation humaine est une tentation médicale ancienne qui a du mal à se policer au cours des dernières années. Si pour sauver 1000 personnes il fallait en sacrifier 3, lors d’une expérimentation, faudrait-il le faire ? Le passé de la médecine est entaché à jamais, et aujourd’hui encore, des médicaments sont aujourd’hui testés en Afrique, en Inde, en Asie.
This is some text inside of a div block.
min
favoris
icone menu
play

LE NORMAL ET LE PATHOLOGIQUE

Vieillir ? oui, mais beau, en forme, jusqu’à la mort !

« Mourir, la belle affaire ! Mais vieillir, Oh ! Vieillir », la mauvaise affaire, oserait-on ajouter pour compléter ce fameux refrain. Car si vieillir est une étape normale dans le cycle d’une vie, le culte de la jeunesse comme le mythe de l’immortalité deviennent ardents et pour certains, plausibles, à chaque avancée scientifique ou médicale. Que disent-il de nous, individus et sociétés du XXIème siècle ?
This is some text inside of a div block.
min
favoris
icone menu
play

LE NORMAL ET LE PATHOLOGIQUE

Les pathologies de l’excès

Anorexie, boulimie, scarifications, jeux, sexe, drogues… Pourquoi et comment arrivons-nous à trop aimer ou à trop ne pas nous aimer ?
This is some text inside of a div block.
min
favoris
icone menu
play

HUMAN - POST HUMAN

Le transhumanisme et le corps : une relation d’amour ou de haine ?

Rencontre avec David Le Breton Professeur à l’Université de Strasbourg, anthropologue et sociologue, spécialiste des représentations et des mises en jeu du corps humain.
This is some text inside of a div block.
min
favoris
icone menu
play

HUMAN - POST HUMAN

Mon avatar, mon clone et moi, émois…

La tentation de vivre avec son clone ou son avatar peut-être séduisante ou effrayante. C’est selon… Au-delà du principe de réalité et de la faisabilité technique, que deviennent les notions de diversité et de singularité dans ce projet ?
This is some text inside of a div block.
min
favoris
icone menu
play

PRODUIRE OU SE REPRODUIRE ?

Avec qui fait-on un enfant ?

Depuis que la culture et les civilisations humaines existent, le choix du partenaire de reproduction n’est pratiquement jamais laissé au hasard et de ce point de vue, toutes les formulations ont existé depuis le mariage entre frères et sœurs des pharaons jusqu’à des formes plus ou moins élaborées d’endogamie. Les procréations aidées par la médecine n’échappent pas à ces logiques structurantes puisque des offres de gamètes de prix Nobel ont vu le jour ici ou là. Il y a donc derrière ces règles sociales souvent très coercitives des valeurs jugées structurantes pour les sociétés qui les ont édictées. C’est à l’analyse de ce choix du partenaire reproducteur qu’est consacrée cette première table ronde de la Huitième édition du Forum Européen de Bioéthique.
This is some text inside of a div block.
min
favoris
icone menu
play

MON CORPS EST-IL À MOI ?

Se voir dans le miroir et croire que l'on peut en maîtriser le reflet

L’être humain est le seul animal à pouvoir contraindre son corps. Il peut décider de modifi er sa silhouette, de renforcer sa musculature, d’améliorer ses performances sexuelles, son humeur ou même ses capacités cognitives. Il semble être en mesure d’asservir son enveloppe charnelle pour en faire un objet d’art, de convoitise ou de défense. C’est en tout cas l’idée qu’il s’en fait. Mais le refl et de notre corps dans le miroir est modifi é par de nombreux filtres et chacun peut y trouver une source de satisfaction ou de déception. L’histoire individuelle, les normes sociétales ainsi que les avancées des technosciences peuvent parfois renforcer l’obsession du corps jusqu’à prendre des proportions inquiétantes.
This is some text inside of a div block.
min
favoris
icone menu
play

MON CORPS EST-IL À MOI ?

C'est mon corps j'en fais ce que je veux: #tatoo #piercing #etc…

Le tatouage en particulier et les modifications corporelles de manière générale sont des éléments constitutifs de la culture humaine. Qu’ils soient la marque tribale d’une appartenance culturelle, d’un rite initiatique, ou d’un effet de mode, ils semblent ancrés pour de bon dans la société. Jusqu’où la société, la technique et parfois la médecine sont-elles prêtes à aller pour marquer sur la peau et dans les chairs ce qui ne peut être affirmé autrement ?
This is some text inside of a div block.
min
favoris
icone menu
play

QUEL HUMAIN POUR DEMAIN?

Définitivement jeune et beau : la dictature des apparences

La société semble vouloir nous imposer la jeunesse et la beauté, quels que soient notre âge ou notre apparence physique. Il est de plus en plus difficile de résister à la tendance du corps sain dans un esprit sain. Sous couvert de la médecine, on nous intime l’ordre de changer notre alimentation, notre activité physique, nos mauvaises manies ou nos petites faiblesses. Il faut faire des régimes, des squats et du cross fit, parfois avoir recours à de la chirurgie, pour faire coïncider notre apparence aux gravures modernes de la mode. Et sur le plan de l’esprit, nous ne sommes pas plus libres, puisqu’il nous faut méditer, être positifs et bienveillants. Que ne sommes-nous pas prêts à faire pour repousser la sénescence de notre corps et de notre esprit ?
This is some text inside of a div block.
min
favoris
icone menu
play

EN TEMPS DE CRISES

Peut on se passer de la présence de l'autre?

La distanciation sociale, tout un programme ! Cela fait une année qu’on se contente de relations lointaines et altérées avec nos familles, nos amis, nos collègues, bref, avec tout le monde. Adieu les poignées de main, les high-five, les sourires en coin, les grimaces et les fêtes de famille… Peut-être même sommes-nous en train de nous y habituer ? Mais à quel prix ? Sont-ce là des pratiques archaïques, inutiles ? Cet épisode marquera-t-il un changement pérenne dans la société ?
This is some text inside of a div block.
min
favoris
icone menu
play

EN TEMPS DE CRISES

Y aura-t-il un monde d'après?

On nous a promis l’effondrement, la refonte ou la reconstruction d’un monde meilleur après l’épidémie de la COVID-19. Critique d’un capitalisme hégémonique, promesse d’une société plus respectueuse de son environnement, retour à des valeurs plus ancestrales, on imagine que l’humanité ne saurait rester la même après un tel bouleversement. Est-ce là un raisonnement propre à chaque grande crise ? Que peut-on, que devrait-on attendre de ce monde d’après ?
This is some text inside of a div block.
min
favoris
icone menu
play

EN TEMPS DE CRISES

Cesser d’exister pour rester en vie.

« La santé avant tout ! » A l’acmé du confinement et de la pandémie, ce leitmotiv s’est répandu avec une grande viralité, comme si la santé était la valeur suprême à protéger. Après tout, il est vrai qu’en son absence, difficile d’envisager quoi que ce soit d’autre. Si la santé est essentielle, l’être humain n’a-t-il pas d’autres besoins vitaux que celui de se soigner, manger, boire, respirer, se vêtir et avoir un toît au dessus de sa tête ? Dans cette optique, il peut être intéressant d’opposer la survie à l’existence. Par ailleurs, la pandémie liée à la COVID-19 a mis en exergue un élément récurrent en matière de politique de santé, la primauté donnée au prolongement de la vie. Mais est-ce vraiment là un objectif raisonnable ?
This is some text inside of a div block.
min
favoris
icone menu
play

ENJEUX D'ENFANTS

La majorité en question

La majorité en droit se définit comme l’âge auquel un individu est juridiquement considéré comme responsable. Il n’y a pas une majorité mais des majorités. Il y a la majorité civile , citoyenne ou encore sexuelle. Ces majorités dîtes légales, définies de manière arbitraires et rigoureuses (mais changeantes selon les époques ou les lieux) cohabitent avec des maturités biologiques (hormonales et psychologiques) intrinsèquement disparates selon les individus et les cultures. Discuter des frontières qui séparent l’enfant de l’adulte est un débat sensible et nécessaire. Le passage de l’un à l’autre est un mécanisme complexe, à la fois biologique, sociétal, légal et culturel.
This is some text inside of a div block.
min
favoris
icone menu
play

ENJEUX D'ENFANTS

Ados en crise

Devenir un adulte quand on est encore un enfant peut s’avérer être une transition difficile (ou même dangereuse), nécessitant parfois la destruction du modèle précédent pour mieux bâtir le modèle à venir. Le développement du corps, comme celui de l’esprit, connaît un bourgeonnement incessant, capable de remuer toute la cellule familiale.
This is some text inside of a div block.
min
favoris
icone menu
play

L'I.A. ET NOUS

L’I.A. au cœur des relations humaines : entre promesses et préoccupations

L’IA offre des promesses extraordinaires. Elle a le potentiel de renforcer les relations humaines en améliorant la communication, en éliminant les barrières linguistiques, et en facilitant la compréhension interculturelle. Les chatbots, les assistants virtuels et les traducteurs automatiques sont autant d’exemples d’IA qui peuvent rapprocher les individus. Mais l’IA va parfois plus loin en permettant à certains robots [bots] de susciter des sentiments d’attachement et de compassion. Ils peuvent entretenir la flamme d’un amour virtuel ou devenir des partenaires sexuels au risque d’appauvrir les relations sociales, de créer une dépendance et d’entretenir l’isolement qui est déjà un fléau dans notre société.
00
JOURS
00
HEURES
00
MIN
00
SEC